Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle (11) : Rachid Commence L’Éducation D’Olga.

Ma rencontre avec Rachid avait été décisive. Désormais, je n’étais plus l’épouse au foyer qui trouvait le temps long, j’étais devenue la femelle de Rachid, avec qui je passais chaque journée, dès le départ de Philippe pour son travail.
Je deviens la femelle de Rachid
Je passais désormais mes journées à faire l’amour avec Rachid. J’étais insatiable, voulant rattr toutes ces années perdues et Rachid, étant particulièrement endurant, retrouvait très vite sa virilité, aidé si besoin par ma bouche et mes caresses expertes. Rachid me disait souvent :
• Tu es incroyable, je n’ai jamais vu une femme comme toi. Tu n’en n’as jamais assez. Je suis un sacré baiseur, mais c’est clair que je ne te suffis pas, tu vas me si je ne procure pas d’autres mâles.
• Tu me suffis, mon amour. Mais occupes-toi de moi. Encore !
Rachid n’avait aucun souci de discrétion, si bien que, très vite, tout l’immeuble sut ce qui se passait chez les T et nous jugeait sévèrement, j’étais définitivement cataloguée comme une putain et Philippe était méprisé pour sa complaisance.
Rachid et moi sortions en ville, enlacés. Nous nous embrassions publiquement. Rachid avait encore ren mes tendances à l’exhibitionnisme qu’avait encouragées Philippe. Rachid voulait que je sois maquillée à outrance, portant des pantalons serrés ou des jupes « ras la touffe ». Il veillait particulièrement à ce que je ne porte jamais ni culotte ni string et que mes seins soient presque visibles.
Lorsqu’il m’amenait au restaurant, dans un cinéma, il y avait ment un passage par les toilettes pour me baiser ou pour que je le suce. Au retour, nous avions droit à des regards noirs de la part des autres femmes, ou des paroles complices de machos de service qui félicitaient Rachid et demandaient « alors, elle est bonne ? » Il répondait « Exceptionnelle ! Pour le moment, je me la réserve, mais je la mettrai bientôt à disposition.»
Toute la ville, y compris les collègues de travail de Philippe, eurent connaissance de la situation.

Il devenait la risée de tous et, en ce qui me concerne, le jugement était impitoyable, car j’avais repoussé il y a peu encore tous ces hommes qui rêvaient de me mettre dans leur lit. Jean et Christine étaient particulièrement furieux, car leur échec était tout récent.
Christine ne cacha pas à Philippe ce qu’elle pensait :
• « Ton Olga est vraiment une salope. Elle a repoussé mon Jean, prenant prétexte d’une petite défaillance, nous a humiliés devant nos invités et là, elle s’exhibe avec cette petite frappe. Elle n’a honte de rien, cette petite garce !
• Il a simplement fait ce qu’il fallait pour la faire définitivement basculée. Soyez patients, je suis convaincu qu’il va la transformer en salope intégrale ».
Dès ce moment-là, j’aurais voulu que Rachid vienne vivre chez nous, car c’était une pour moi de le voir partir avant le retour de Philippe. A vrai dire, les pratiques sexuelles habituelles avec Philippe, qui commençaient par le nettoyage complet des traces de mes ébats dans ma chatte, mon cul et sur tout mon corps, complété par le récit détaillé de ce que nous avions faits dans la journée, tout cela, même avec la tendresse de Philippe, ne me suffisait plus.
Le premier week-end : une tenue plus qu’ambigüe
Le premier week-end qui suivit ma rencontre avec Rachid, Philippe vit que toute la journée du samedi j’étais triste et que je pleurais.
• Il me manque chéri. J’ai envie de lui, j’ai envie qu’il me baise, encore et encore. Je vais devenir folle 48 heures sans lui.
• Tu sais que je ne supporte pas de voir comme ça, mon Olga. Appelle le, dis-lui qu’il vienne.
• Toi mon cochon, tu n’attends qu’une chose avec impatience, c’est mater quand il me baise !
• Tu ferais ça pour moi, mon Olga ? Je t’aime.
• Oui nous le ferons, Rachid me l’a promis. Mais il veut choisir le moment et l’organiser. Que nous nous en souvenions longtemps.
• Alors, dis-lui qu’il vienne, je vous laisserai l’appartement pour le week-end.

• Je t’adore !
Olga appela immédiatement Rachid :
• Bonjour mon amour. Tu me manques, j’ai envie de te voir. Je ne peux plus me passer de toi.
• Tu es terrible ! J’ai droit à du repos aussi !
• Ah non ! Moi je n’en ai jamais assez ! Philippe est d’accord pour nous laisser l’appartement tout le week-end
• C’est sympa, il faudra qu’on lui accorde le spectacle ce qu’il attend avec impatience, mais ce n’est pas encore pour tout de suite. J’ai une idée : tu mets le top que je t’ai offert, tu sais celui qui est particulièrement décolleté et laisse ton nombril à l’air. Tu prends la jupe la plus serrée et la plus courte que tu as. Maquille-toi à outrance, en insistant sur les lèvres, je veux qu’elles soient bien rouges. Pour les yeux, les joues, utilise ce qu’on a acheté l’autre jour. Ah oui, n’oublie pas, ce que tu as de mieux en talons aiguilles, pour mettre tes jambes et ton cul en valeur.
• Mais Rachid, tu vas me faire passer pour ce que je ne suis pas.
• Mais si mon amour que tu es une putain. Ma putain. Fais ce que je te dis. Prends un taxi et attends-moi Boulevard Foch, près de la gare.
• Rachid, c’est le quartier des prostituées. Je vais me faire embarquer pour racolage
• Ça me plairait que les flics te baisent. T’inquiète, fais ce que je te dis. Obéis, femme !
J’obéis, à la fois excitée et inquiète. J’ai su plus tard que Philippe m’avait suivi à distance, pour intervenir si ça tournait mal.
Dès le taxi, le ton était donné.
• Et bien ma petite, on va à son travail. Hum si je n’étais pas de service, j’aurais bien été client
• Ce n’est pas ce que vous croyez, Monsieur. Je vais rejoindre mon amant.
• Ton mac, oui. Tu dois être une bonne gagneuse !
Le taxi m’a déposé près de la gare. Rachid m’avait dit d’attendre à proximité d’un hôtel, qui était sordide et réputé pour être un hôtel de passe.
Je me suis mise à faire les cent pas, tortillant inévitablement du cul, tant ma jupe était serrée et les talons-aiguille n’arrangeant pas les choses.
Rachid n’était pas là et mit plus d’une heure à arriver. Cela me parut une éternité, pendant laquelle je me suis fait aborder plusieurs fois par des clients potentiels :
• T’es nouvelle ? Tu prends combien ?
• Combien pour une pipe ?
• Tu le fais sans capote ?
• T’acceptes de te faire enculer ?
• T’avales ?


Et quand je les envoyais promener, leur disant que je n’étais pas ce qu’ils croyaient, je me faisais agonir d’injures :

• Allumeuse, salope, qu’est-ce que tu fiches ici alors, dans cette tenue ?
J’avoue que j’étais partagée entre la honte, la peur et l’excitation. Une voix me disait que j’aurais dû suivre ces types et accepter leurs propositions. Ce qui me faisait envie, c’était d’être un objet de plaisir, une chatte, un cul, une bouche. Bref, je voulais du sexe et j’en voulais toujours plus. Rachid me faisait découvrir un autre aspect de ma personnalité, qui me faisait vraiment peur.
Ça a commencé à devenir très chaud quand les vraies professionnelles se sont aperçues de ma présence. Une première s’approcha, très agressive.
• Dis-donc, toi, espèce de salope, qu’est-ce que tu fous là ? Qui t’a autorisé ? Dégage !
• Madame, vous vous trompez, j’attends mon amant. Il m’a demandé de m’habiller comme ça, mais je ne fais pas le trottoir.
• C’est ça, prends-moi pour une conne en plus !
• Je vous assure. Regardez ma carte d’identité, j’habite les beaux quartiers de la ville
• En plus t’es une bourge salope qui vient faire ça parce qu’elle a envie de s’encanailler. Je te préviens, quand mon mac arrive, t’as intérêt à dégager fissa, sinon ça va aller mal pour toi !
• Oui Madame, ne vous inquiétez pas.
Je passai un coup de fil à Rachid :
• Mon chéri, que fais-tu, ça devient très chaud ici. Je ne peux plus rester sinon j’ai le choix entre le poste de police pour racolage ou la correction par un mac. Ils ne plaisantent pas ici.
La seule humanité que j’ai rencontrée dans cet univers glauque fût une autre prostituée, une jeune Africaine, Rita.
Elle devait avoir 25 ans, un très joli corps, des seins qui me faisaient envie. Je m’étais mise à fumer, pour me donner un peu de contenance. Elle vint vers moi, se fit offrir une cigarette.
• Enchantée, je m’appelle Olga. Contrairement aux apparences, je ne suis pas une concurrente. C’est par vice que mon amant, Rachid m’a demandé de m’habiller ainsi et de l’attendre ici.
• Rachid, tu dis ? Rachid A ?
• Oui c’est ça. Tu le connais ?
• Oui, un petit caïd de la cité. Il vient de temps en temps ici comme client. Il est beau et il baise comme un Dieu. Tu devrais te méfier, Olga, ce type est un prédateur. Il t’a fait venir ici, pas seulement par vice. Il peut être dangereux.
• Merci de me prévenir. Moi et mon mari ne laisserons pas non plus faire n’importe quoi. Mais je suis folle dingue de ce type.
• Justement, fais attention. Tu sais, Olga, j’ai vu comment tu m’as regardé tout à l’heure. Mon instinct ne me trompe pas, tu aimes aussi les femmes, n’est-ce pas ? Tu es comme moi, bi ? Tu es si belle, Olga. J’ai envie de toi. Et dans ce cas, c’est gratuit, sourit-elle.
• Oui. Toi aussi tu es belle, Rita. Maintenant que je suis libre de faire tout ce que je veux de mon corps, je ne veux me priver d’aucun plaisir. Je te laisse ma carte, tu me contactes et on fera l’amour. Je te paierai bien entendu.
• Pour toi, pas besoin de payer. J’ai envie de toi, ma chérie.
Nous n’avions pas entendu Rachid approcher.
• Eh bien, Olga, on dirait que tu t’es déjà faite des amies. Tu ne dépareilles pas du tout dans le décor. Quand tes connaissances sauront dans quel quartier et dans quel secteur tu passes tes samedis soir ! Bonsoir Rita. Elle est belle, ma femelle n’est-ce pas ? Te connaissant, je me doute que tu l’as déjà draguée.
• Oui Rachid, prends soin d’elle, ne la traite pas mal, comme tu as fait à la précédente, Madame Sylviane.
• Dis-moi toi t’es toujours aussi attirée par les meufs, malgré ton métier. Je sens qu’elle te fait envie, mon Olga. Reste dans les parages, je vais m’occuper d’elle et je reviens te chercher pour que vous gouiniez ! J’aime voir deux jolies femmes se donner du plaisir.
A ce moment-là, un type s’approcha de nous, l’air menaçant. Rachid le calma :
• Ne t’inquiète pas, je ne viens pas sur tes platebandes. Je suis depuis quelques jours l’amant, le mâle de cette bourge. Son mari n’arrive pas à la satisfaire, j’ai pris le relais. Ca me plait de l’exhiber, de la faire passer pour une pute.
• Profites en bien, gamin, fais bien cocu son enfoiré de mari et si tu la prêtes, fais-moi signe, elle est bandante. Mais évitez de faire ce genre de choses ici, on n’aime pas trop la concurrence, y compris quand c’est gratuit.
Rachid me prit par la taille et entra dans l’hôtel. Sa main était sur mes fesses. Il demanda une chambre et la paya en liquide. Devant le réceptionniste, Rachid mit ostensiblement un billet dans mon top. J’étais morte de honte, mais, pour montrer ma soumission, je jouais le jeu. J’en rajoutai même :
• Dis donc chéri, tu as demandé à passer la nuit avec moi et à me faire la totale, sans capote. C’est plus cher que ça.
Rachid rajouta une liasse.
• Et ben mon garçon, c’est un sacré morceau que tu ramènes. Je ne l’avais jamais vu dans le quartier.
• Et pour une cause, c’est une nouvelle, une occasionnelle. Une bourge qui aime s’encanailler. Pour un bon prix, elle fait tout. Et comme c’est une chaudasse, en plus elle prend son pied.
• Et ben, vas-y, mon petit gars, monte et passe du bon temps !
Dans l’escalier, Rachid me prit dans ses bras, m’embrassa fougueusement et enleva mon top.
• Rien ne te fait peur. Tu sais que tu es très crédible en pute ?
• Je savais que ça t’exciterait. En attendant, il te faudra assumer comme jamais, car j’ai le feu au cul, avec tous ses types qui m’ont abordé, sans parler de Rita que j’avais très envie de gouiner.
Je n’attendis pas d’être à la chambre pour les préliminaires, me retrouver nue et tailler une pipe à Rachid.
Une professionnelle, qui sortait d’une autre chambre, me jeta un regard noir :
• Quelle salope celle-là ! Elle ne peut même pas attendre d’être dans la chambre !
Et en effet, je ne pouvais plus attendre. La chambre était plutôt spartiate, avec une douche et un lit qui avait dû servir à de nombreux rapports adultères ou tarifés.
Etreinte torride
Une fois dans la chambre, je ne voulais pas passer du temps à des préliminaires, à des baisers, des caresses, de la tendresse. J’avais une envie folle d’être prise, de me faire saillir, de copuler. Je me montrai encore plus chaude que d’habitude.
Je m’enfourchais sur Rachid en andromaque. Assise sur Rachid qui était allongé sur le dos, cela me permettait de choisir l’angle de la pénétration, de bouger mon corps selon le mouvement et l’inclination que je souhaitais. J’appuyais mes mains sur le torse de Rachid, qui, lui, avait les mains libres pour me caresser partout, seins, cuisses, clitoris, fesses… J’aime cette position car elle favorise l’orgasme vaginal. J’oriente mon corps pour la pénétration, selon l’angle où je ressens le plus de plaisir. La zone à l’avant du vagin étant spécialement sollicitée, la position d’Andromaque est propice chez moi à la stimulation du point G et permet une pénétration particulièrement profonde. Rachid, surpris de cette initiative, se laisse mener. Les mains sur ses épaules, je poussais de petits gémissements. Le visage déformé par le plaisir, mes seins se balançaient. Le plaisir montait en nous mais nous voulions retarder l’échéance. J’accélérai le rythme, jusqu'à mettre Rachid au bord de l’éjaculation, puis je ralentissais car je voulais que ça dure. Je jouais avec lui, m'amusant à le faire défaillir de plaisir, puis à le faire languir au point de le rendre fou. Je lui fis subir ce traitement pendant un gros quart d'heure, pendant lequel il tentait à plusieurs reprises de reprendre le contrôle des opérations.
Cependant, Rachid finit par réussir à me renverser et à me plaquer contre le matelas. Il m’attrapa les mains, et me maintenant prisonnière, il se mit à me baiser sauvagement en missionnaire. Il me pilonnait à un rythme soutenu, je gémissais de plus en plus fort, et lui criais de continuer et d'aller plus vite. Stimulé par mes encouragements, il accéléra encore le rythme, ce qui me fit crier encore plus fort. Ivre de plaisir, je lui griffais le dos avec mes ongles, ce qui le stimula encore plus. En réponse à mes griffures, il me mordillait le menton et le cou.
Notre baise n’avait jamais été si sauvage. Rachid m’embrassait langoureusement avant de reprendre ses vas et viens, mais plus lentement. Il malaxait mes seins, avant de les lécher. Il reprit ses coups de reins, à un rythme plus rapide puis me prit en enclume, mes jambes sur ses épaules. Il me baisait ainsi, sûr de ma totale soumission, me regardant droit dans les yeux, tandis que je me tordais de plaisir, le visage décomposé par la jouissance, alors que le mâle inondait ma chatte de puissants jets de sperme.
• Oh Rachid, c’était merveilleux. Je t’aime, tu es mon mâle, mon homme, celui qui me fécondera. Tu peux tout me demander, faire de moi tout ce que tu veux.
• J’y compte bien. Je veux développer tout ton potentiel sexuel, te faire connaître tous les plaisirs, faire de toi une salope intégrale. Et Philippe, tu n’y penses plus, espèce de salope ?
• Je l’aime, mais c’est différent. Mon mâle c’est toi. Ca n’a jamais été lui.
• Tu serais prête à te séparer de lui si je le demandais ?
• Ca me ferait très mal. Mais si je dois choisir, c’est toi que je choisis.
Rachid me donna une gifle.
• Petite garce, il n’est pas question que tu te sépares de Philippe. Ca décuple mon plaisir que de le déshonorer et ce n’est pas fini. D’ailleurs sans lui, je ne t’aurai jamais connu. Il va falloir penser à organiser la petite soirée qu’il attend avec impatience.
• Je suis contente que tu acceptes mon Philippe. En ce moment, il doit être en train de se branler en pensant à ce que tu es en train de me faire.
• Et ce n’est pas fini. Je vais de lui le plus grand cocu de cette ville. Et n’oublie pas que tu m’as promis son cul. J’aime ça aussi les culs bien serrés de mecs, surtout quand il s’agit d’un cocu.
• Je le prépare pour toi, il adore ça.
• A propos d’homosexualité, il y a Rita qui attend que je vienne la chercher. Elle brûle d’envie de te gouiner, moi de vous voir ensemble, avant de vous baiser. Je descends la chercher. Donne-moi du fric pour qu’elle puisse passer du temps avec nous. Et surtout, reste sur ce lit, nue. Je veux te voir faire l’amour avec une femme et je vais vous baiser toutes les deux.
Rachid m’offre un trio bi
Quelques instants après, Rachid revint avec Rita. La jeune black était vraiment très belle. Je la désirai autant que j’avais envie d’être encore et toujours à Rachid. Je n’avais pas eu de relation saphique depuis le départ d’Agun et ça me manquait. D’autant que Rita semblait particulièrement attirée par moi.
Rita vint coller sa bouche sur la mienne. De mon côté, je posais ma main sur la bite de Rachid. Je la massais lentement par-dessus le pantalon pour ensuite m'attaquer à la fermeture éclair de sa braguette pour arriver à sortir sa queue. Je commence à me branler le clito.
Rita fait tomber sa robe, elle était nue en dessous. Elle vint près de moi. Elle me laissa le soin de continuer la fellation. Rita se met dans une drôle de position, elle est penchée sur moi, simplement, ses fesses en l'air. Rita est nue, derrière moi. C’est moi qu’elle veut. Elle s'accroupit pour venir poser sa langue sur mes parties très intimes. Je gémis. La main de Rita me masturbe. En même temps, nous suçons à tour de rôle Rachid.
Je ne sais comment il est arrivé à résister à nos fellations expertes. Il était excité et en même temps curieux de savoir comment nous allons nous faire jouir ensemble. Il regardait Rita qui continuait son cunnilingus. Cette fois elle y a rajouté un gode qu'elle a planté dans mon vagin. Elle me baise sauvagement, alors que la queue de Rachid est faite pour ça. Rita accélère ses mouvements et Rachid lâche sa sauce dans ma bouche ouverte. Son sperme n'est pas perdu pour tout le monde: Rita et moi nous nous embrassons pour le partager.
Comme il débandait provisoirement, nous lui tournons le dos. C’est à notre tour de s'aimer devant lui. Nous nous caressons comme seules savant le faire les lesbiennes, les seins, le clitoris, même le petit trou où nous n’hésitons pas à y mettre nos doigts. Nous nous mettons en 69. Rita est à l'initiative des léchages, moi à celle des doigtages dans l'anus. Rachid rebande, prêt à nous baiser toutes les deux.
Il se lève pour rentrer dans un de nos orifices. Nous le repoussons. Rita a amené un double gode. Elle prend une fois de plus prend l'ascendant sur moi. Elle m’installe couchée sur le dos. Elle me met un peu plus de la moitié du gode dans le vagin, elle se couche, fesses à fesses pour introduire l'autre moitié dans son con. C'est elle qui manie l'engin. Je ferme les yeux. Rita demande à Rachid d'attendre qu'elles finissent de jouir à deux pour qu’il s’occupe d'elles.
Rachid nous voit frémir plusieurs fois, à chaque jouissance. Je ne suis plus qu’une machine à enchaîner les orgasmes, plus forts les uns que les autres.
Nous nous relevons pour embrasser Rachid. Un de ces baisers à trois, langues sorties se caressant hors des bouches. Rachid nous tient au début par les épaules pour finir par une main sur chaque fente où il caresse tout ce qui est à sa portée. Il trouve d'abord mon clitoris, gonflé, plein de sève, prêt à parti encore. Celui de Rita est plus petit. Il nous fait jouir toutes les deux avec ses doigts. Il nous demande alors laquelle il doit faire jouir avec sa queue et où.
Rita décide de tout: Rachid doit me sodomiser et avant la baiser elle. La fille sans rien en elle lèchera l'autre. Je suis d'accord sur ce programme, à condition que je sois godée. Je me couche sur le dos, écarte les jambes. Rita me met le gode dans le vagin. Quand elle l'a mis bien profond et commence à me baiser, Rachid se met sur elle pour lui entrer sa bite. Je ne suis pas jalouse de voir mon amante se faire prendre par mon mâle. Elle gémit sans arrêt, triture mes seins, m’embrasse fougueusement et me dit des mots d’amour. Ma main est les couilles de Rachid, qui baise ma maîtresse. Je pose sur l’anus de la belle black deux doigts. Je les rentre lentement et lui branle le cul pendant qu’elle me gode. Rachid sort du con de Rita et nous envoie plusieurs giclées sur le visage et les cheveux. Rita jouit deux ou trois fois et s’effondre dans mes bras.
Je me mets en levrette, les fesses bien ouvertes. Je prends la bite de Rachid pour la mener sur mon anus. Il me sodomise sans y mettre trop de formes. Quand son gland passe je sens mon intestin s'ouvrir. Rita a remis le gode double et je suis désormais prise en sandwich.
• « oui, oui, oui, encore, plus profond, Je jouis ».
Nous sommes sortis de l’hôtel tous les trois ensembles, moi au milieu tenant la main de Rachid et de Rita. Pendant les semaines qui ont suivi, et malgré la débauche de sexe à laquelle je me livrais avec Rachid, Rita venait régulièrement chez moi pour de torrides étreintes saphiques. Je ressentais le besoin de livrer mon corps aux caresses d’une femme.
Je venais de passer avec succès la première épreuve que Rachid avait prévue pour moi. M’entrainer dans cet hôtel glauque en me faisant passer pour ce que je ne suis pas. Il en avait prévu d’autres.
Rachid m’offre à Georges
Cette après-midi-là, j’étais avec Rachid. Nous faisions l’amour depuis des heures et à chaque fois c’était pour moi une découverte, en particulier du fait des positions différentes dans lesquelles il me prenait. Allongée sur le dos, j’avais posé une jambe sur l'épaule de Rachid et l'autre entre les genoux de celui-ci. J’aime beaucoup cela afin de stimuler le clitoris et accen le plaisir. Et c’est à ce moment-là que la sonnette de la porte retentit avec insistance.
• Oh non, Rachid, je ne veux pas savoir qui c’est. Continue chéri, encore !
• C’est quelqu’un qui insiste, c’est peut-être important. Je vais voir.
J’étais très fâchée et frustrée. Me déranger quand j’étais en train de m’envoyer en l’air avec mon mâle était pour moi insupportable.
• C’est Georges le concierge. Je l’ai fait entrer.
• Ah non, pas lui !
• Mets une robe de chambre et viens nous servir un café ! Ne discute pas, femme !
• Bonjour Mme T. Vraiment désolé de vous déranger dans un tel moment, mais c’était important !
Ce type me déshabillait du regard. Mes cheveux en bataille, le sperme séché sur mon visage et mes jambes, celui qui coulait de mon vagin disait clairement ce que nous avions faits depuis le début de l’après-midi, comme chaque jour du reste. J’étais troublée car je pensais à ce qui s’était passé dans le parking il y a un peu plus de deux ans. J’étais décidée à ce qu’il parte le plus vite possible, pour recommencer mes ébats avec Rachid.
• Je vous écoute Georges. Que voulez-vous ? Vous nous dérangez. Figurez-vous que j’étais en train de me faire mettre par Rachid. Et au moment où vous avez sonné, j’étais sur le point d’avoir un nouvel orgasme.
• Justement, Madame T. c’est de ça qu’il s’agit. Vos voisins n’en peuvent plus de vos frasques.
• En quoi ça les regarde ? Mon mari est au courant et il est consentant.
• La plupart de vos voisins envisagent de se plaindre, dans un premier temps auprès du bailleur, peut-être à la justice, dans le cadre de la protection des mineurs.
• Grand bien leur fasse !
• Réfléchissez un instant. Il vous sera difficile après ça de trouver une autre location ou même à acheter.
• Et quel est votre rôle là-dedans ?
• Et bien, moi, je peux freiner tout ça, faire bloquer au niveau du bailleur. J’ai pas mal de connections depuis le temps que je travaille dans cette société.
• Et pourquoi vous feriez ça ? je croyais que vous me détestiez.
• C’est vrai ma petite que je t’en veux après ce que tu m’as fait il y a deux ans. Mais j’ai beaucoup de sympathie pour Rachid, c’est un très proche ami de mon fils Gilbert. Mais si tu veux mon aide, il faudra se montrer très gentille avec moi. Commence déjà par enlever cette robe de chambre. Ne fais pas ta mijaurée, je connais ton corps !
• Mais enfin, il n’en n’est pas question, pour qui me prenez-vous ?
• Pour ce que tu es, une pute. Rachid, elle est à toi ou non ?
• Olga, ça suffit. Je t’ai offerte à lui. C’est grâce à lui que je t’ai repérée. Tu lui dois bien ça. Il aura le privilège d’être le premier. Ne t’inquiètes pas, il ne sera pas le seul !
• S’il te plait, mon amour. Avec qui tu veux, mais pas lui. C’est un porc.
• Justement, c’est parce je sais que tu le méprises que j’ai décidé de t’offrir à lui. Tu m’obéis, femme ? Tu es libre, mais dans ce cas, je m’en vais et tu ne me verras plus !
• Jamais, Rachid. Pardonne-moi, je t’obéirai. Après tout, il y a deux ans, il m’avait fait bien jouir.
• Je préfère ça, dit Rachid en faisant tomber ma robe de chambre.
Par un dernier réflexe, je mis mes mains pour tenter de cacher mes seins et ma chatte. Rachid écarta mes bras.
• Elle est belle, n’est-ce pas ? J’en reviens pas qu’une telle femme soit à moi. Vas-y, Georges, elle est à ta disposition. Rappelle-toi seulement que je suis le seul désormais autorisé à jouir dans sa chatte.
• Mon chéri, j’aimerais que tu participes. Un trio, ce serait plus facile pour moi.
• Je t’offrirai des trios et même davantage une autre fois. Cette après-midi, tu es à Georges. Moi je veux simplement mater. Avoir le plaisir candauliste dont Philippe rêve tant.
Georges était assis sur un fauteuil. Il se mit à poil, exhibant une érection qui, sans atteindre celle à laquelle j’étais désormais habituée avec Rachid, était tout de même impressionnante.
• Approche petite pute. A genoux, tu vas commencer par me tailler une pipe.
C’est à Rachid que j’aurais voulu faire cette fellation. Mais puisque j’étais à lui, je me suis inclinée. Je me suis mise à genoux, aux pieds de Georges. Il a commencé par frapper mon visage avec sa verge. Je passais des coups de langue sur le gland et la tige. Puis il s’est engouffré dans ma bouche, m’a tenu la tête et a commencé à baiser ma bouche.
• Merci petit de m’avoir permis d’être le premier. Si j’avais imaginé qu’un jour je serai ici, en train de me faire bouffer les couilles par la belle Olga T !
• Je t’en prie. Elle fait ça bien ?
• Mieux qu’une professionnelle. Elle y met du cœur. Elle a une bouche faite pour pomper.
J’avais décidé de donner toute satisfaction à Rachid. Il avait voulu cela, je ne le décevrai pas. Pour m’encourager, de ma main libre, je me branlai le clito.
La fellation dura un moment, j’aurais voulu faire gicler Georges, dans l’espoir d’en finir et de m’en tirer peut-être avec une pipe. Mais il ne l’entendait pas ainsi.
• Doucement, gourmande. Je me réserve pour mieux. Je veux te baiser !
• Allons dans la chambre, ce sera plus confortable et plus symbolique si tu la niques dans le lit du cocu.
Je me suis relevée et j’ai pris la main de Georges pour l’entrainer vers la chambre. J’avais besoin de caresses, de baisers. Qu’il me touche. Je lui offrais mes lèvres pour un baiser
• Touche-moi, embrasse-moi !
• Pas de ça salope, je veux uniquement te sauter.
Arrivés à la chambre, Rachid s’installa dans un fauteuil, pour ne rien perdre du spectacle :
• Tu la veux comment ?
• Mets-toi à quatre pattes, je te prends en levrette, c’est bien ce qu’elle préfère, non ? C’est parfait pour une chienne comme elle.
Avec l’Andromaque, c’est en effet la position que je préfère. Parce qu’elle a un côté bestial, elle se prête particulièrement bien à ce qui se passait ce jour-là. Ce n’était que du sexe, aucun sentiment, aucune tendresse. Au contraire, cet homme se vengeait de moi en me possédant, en me couvrant d’injures. Le pire, c’est que cette situation m’excitait, comme le fait que mon homme m’avait offert et assistait au coït.
• Viens me la mettre ! Qu’est-ce que tu attends ?
Il ne se fit pas prier et s’enfonça d’un coup. J’étais excitée et donc bien lubrifiée, d’autant que j’avais déjà été bien ramonée par Rachid depuis le début de l’après-midi.
• Prends-ça, garce ! Ca te plait ?
• Oui, salaud, tu me remplis bien. Vas-y, bien à fond, plus fort ! Plus vite !

Rachid n’en perdait pas une miette. Il se branlait doucement et encourageait le mâle qui était en train de m’envoyer en l’air.

• Putain, elle est encore plus belle quand elle jouit. Tu verras, c’est incroyable le nombre d’orgasmes qu’elle est capable d’enchainer. Tu pourras la sauter à chaque fois que le cœur t’en dit mon ami. Je ferai d’elle la plus grande salope de cette ville !
• Son cocu avait raison de l’encourager. C’était du gaspillage qu’un tel trésor ne serve pas !
Je mis tout mon art pour le faire éjaculer, mais il tenait bon. Au moment où il était sur le point de jouir, il sortit de ma chatte, comme Rachid l’avait demandé et fit signe à Rachid d’approcher.
• Viens Rachid, on va l’arroser tous les deux !
Ils se mettent d'accord pour éjaculer en même temps et y parviennent. Ils visent ma bouche que je dois garder ouverte. Les yeux fermés, je sens les rafales de sperme atterrir partout sur mon visage, mes cheveux, mes seins.
Je me sens avilie, couverte de sperme. La honte devrait s'emparer de moi mais mon dégoût se transforme inexplicablement en un surplus d'excitation : me sentir et me savoir dégradée, salie, souillée, me plaît. C’est une pulsion que Rachid avait bien devinée.
Il y avait eu Georges et je savais désormais qu’il y en aurait d’autres, beaucoup d’autres.
Quand Georges fut parti, Rachid me fit à nouveau l’amour, avec vigueur et tendresse, me remerciant pour ma docilité et la preuve d’amour que je lui avais offerte.
• Tu ne crois pas chérie qu’il est temps d’offrir à Philippe ce qu’il a tant désiré ?
• Merci mon Rachid, pour lui et pour moi aussi. J’ai tant envie de lui faire le cadeau de mon plaisir. C’est à lui que je le dois avant tout.
(A suivre : Philippe a enfin sa soirée candauliste)



Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!